Ramallah, le 22 décembre 2019, WAFA- la terreur et la confusion ont envahi les dirigeants israéliens, après l’annonce par la procureure de la Cour Pénale Internationale, Fatou Bensouda, que la Cour ouvrira une enquête complète sur les crimes de guerre de l’occupation israélienne contre les Palestiniens.
Commentant la décision de la Procureure, le Premier ministre du gouvernement israélien, Benjamin Netanyahu, a déclaré : "C‘est un jour noir pour la vérité et la justice. Ils font de la Cour internationale de Justice une" arme politique "dirigée contre Israël. C‘est ridicule."
La radio hébraïque a également abordé une importante nouvelle sur son site Web, dans laquelle elle a mentionné : "Les responsables israéliens, militaires et politiques, sont désormais confrontés à la possibilité d‘être arrêtés s‘ils se rendent dans 100 pays en raison des crimes qu‘ils ont commis contre le peuple palestinien".
Le journal israélien Ha‘aretz a rapporté dans ses titres que Netanyahu, Lieberman, Gantz et l‘actuel chef d‘état-major israélien Aviv Kohavi figurent parmi les noms qui pourraient être requis pour la Cour pénale internationale.
Tandis que le journal Yedioth Ahronoth a cité le conseiller juridique du gouvernement israélien qui a déclaré que La décision de la Cour pénale internationale ne peut être acceptée
Le journal Ma’ariv quant à lui a rapporté une nouvelle selon laquelle Israël avait les moyens de faire face à la Cour pénale internationale.
F.N
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