Jérusalem capitale de Palestine/ Washington, le 14 mars 2018, WAFA- Mercredi, l’ambassadeur palestinien auprès des États-Unis, Hussam Zomlot a déclaré que la conférence qui s’est tenue à la maison blanche pour examiner la crise humanitaire dégradante dans la bande de Gaza, est un bonne expression pour le mensonge.
Pendant sa rencontre avec les responsables et des représentants des organisations américaines de la société civile et les institutions internationales à Washington, M. Zomlot a ajouté que le côté palestinien n’a pas assisté à la conférence puisque l’administration américaine a perdu sa crédibilité après sa reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël et le transfert de l’ambassade américaine dans la ville sainte.
Hussam Zomlot a souligné que les tentatives américaines de contournement à travers les discussion sur la crise humanitaire à gaza, sont dévoilées et ne changent pas la position de la direction palestinienne.
L’ambassadeur Zomlot s’est interrogé : "comment l’administration américaine coupe les aides présentées à la Palestine et à l’UNRWA qui aident plus de deux-tiers des habitants de la bande de Gaza, tout en prétendant qu’elle a intérêt de trouver des solutions de la crise humanitaire à Gaza.
M. Zomlot a fait savoir que la crise à Gaza n’est pas causée par un désastre naturel pour étudier sa dimension humanitaire, mais est provoqué premièrement par le siège et l’occupation israélienne et deuxièmement, le contrôle civil et de sécurité du mouvement du Hamas sur la bande de Gaza.
Hussam Zomlot a mis en garde de l’adoption des agendas du gouvernement de l’occupation israélienne qui tente à isoler la bande de Gaza de sa position nationale et politique et à falsifier la réalité.
L’ambassadeur Zomlot a condamné également la tentative d’assassinat du convoi du premier ministre palestinien, Rami Hamdallah et le chef des services du renseignement, le général, Majid Faraj pendant leur visite dans la bande de Gaza, hier, considérant cette tentative d’une cohérence avec les tentatives de mettre fin à la question palestinienne.
En ce qui concerne les rapports de ‘l’accord du siècle‘, Zomlot a indiqué que toute discussion hors du cadre des droits légitimes du peuple palestinien dont Jérusalem-est la capitale de l’état palestinien souverain sur les frontières de 1967, le règlement juste de la question des réfugiés selon la résolution ‘194’, sera rejeté et que le peuple et le gouvernement palestiniens représenté par le président, Mahmoud Abbas et l’organisation de libération de la Palestine confronteront les répercussions de cet accord.
H.A/F.N