Nazareth, le 8 août 2018, WAFA- Mercredi, la poétesse Darin Tator a quitté ce matin la maison familiale dans le village d‘Al-Rina dans les territoires de 1948, pour se rendre au centre de détention de ‘Jalameh’ à Haïfa pour être incarcérer dans la prison où elle purgera sa peine de deux mois, pour avoir écrit un poème sur l’occupation.
Des dizaines de militants et de solidaires avaient rendu visite ce matin à la poétesse Tator avant qu‘elle quitte la maison familiale,
"Je remercie la solidarité de mes amis, qui ne m‘ont pas quitté un instant, lors de mon procès", a-t-elle déclaré.
Tatar a souligné qu‘elle ne regrettait pas d’être jugée pour une position politique, affirmant qu‘Israël est un État démocratique pour les seulement les juifs, et la liberté d‘expression est limitée à une catégorie dans ce pays qui pratique la discrimination contre les arabes qui pensent vivre dans un état des ‘droits’.
F.N
