Accueil Politique 17/May/2016 09:15 AM

Des boules en cuivre…De Jaffa à Naplouse

Naplouse, le 15 mai 2016.WAFA- A l’occasion de la commémoration de l’exode palestinien de 1948, nous trouvons plusieurs contes des réfugiés palestiniens et pour chacun d’eux une histoire.
Entre la terre des oranges et la Damas mineur, Ali Al-Koka est un réfugié qui est retourné pour une journée après d’avoir quitté leur terre de 1948.
Le petit fils d’Ali, Nael Al-Koka, a exprimé pour WAFA que le retour de son grand père à la jeune mariée des mers, Jaffa, était dans le but d’apporter le reste des machines dans son usine de production le dessert, avant de recourir à Naplouse en 15 mai 1948. Aussi, Nael a déclaré que son grand père a rendu seulement quatre boules du cuivre (utilisées à équiper le bonbon coloré) transportées dans un camion à la ville de Naplouse ; Alors que le reste de l‘équipement est resté dans l‘usine à Jaffa. Ali a recommencé son travail avec ces quatre boules en cuivre lors il a fondé son usine en 1950, à Naplouse, où ses mains ont maîtrisé la production de bonbon à Jaffa avant que les étrangers occupent la place.         
Il a ajouté que la moitié de l’usine a été détruite par des gangs sionistes pendant la Nakba et ce qui restait de celle-là a été transformée en musée.   
Nael a indiqué que l’usine exportait des bonbons aux villes palestiniennes et plusieurs villes en Jordanie et en Syrie, mais à cause des circonstances politiques en Palestine et la chute de la ville de Naplouse sous l’emprise de l’occupation israélienne en 1967, cela a conduit à la commercialisation ée en Cisjordanie et la Bande de Gaza.   
Aujourd’hui, après soixante-huit ans de la Nakba, les boules en cuivre sont encore présentes dans l’usine. Nael remue les bonbons dans ces boules en ajoutant de l’eau et du sucre afin de donner un couleur clair.
Nael et ses frères n’ont pas délaissé les boules du cuivre mais ils ont ajouté des nouvelles boules, après d’avoir hérité de leur père qui est mort il y a une semaine.
De surcroit, Nael a confirmé à WAFA que 12 ouvriers à l’usine dans plusieurs départements, en soulignant que les productions de l’usine sont reconnues dans les évènements du mariage, religieux, sociaux et durant la saison d’hiver malgré de faire face à la concurrence du type luxueux importé, sauf que la production palestinienne trouve un bon marché jusqu’à ce jour et pourtant de maintenir sa survie.  
A la fin, selon Nael, l’usine poursuit son travail, à la ville de Naplouse, qui est connue de la production de bonbon en accompagnant par des autres usines, leur propriétaire étaient des ouvriers dans l’usine d’Al-Koka.


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