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Accueil Politique 27/September/2020 09:37 AM

Des premiers ministres arabes et internationaux soutiennent la solution à deux États

Des premiers ministres arabes et internationaux soutiennent la solution à deux États

 

Stockholm, le 25 septembre 2020, WAFA- Des premiers ministres arabes et internationaux soutiennent la solution à deux Etats qui déclarent que l'annexion des territoires occupés est inacceptable.

Le Premier ministre suédois, Stefan Löfven, a indiqué que son pays soutient la solution à deux États à travers des négociations pour régler le conflit entre les Palestiniens et les Israéliens conformément aux normes internationales convenues de manière à mettre fin à l'occupation.

Dans son discours à la 75eme session de l’Assemblée générale des Nations Unies, le Premier ministre suédois a ajouté que la position de son pays et de l’Union européenne était claire, qui est de rejeter l’annexion par Israël des territoires occupés comme inacceptable.

De sa  part, le Premier ministre de Saint-Vincent-et-les Grenadines, Ralph Gonçalves, a fait savoir que l'État de Palestine devait être membre à part entière des Nations Unies afin de parvenir à la solution à deux États.

De plus, dans son discours à la 75eme session de l'Assemblée générale des Nations Unies, il a ajouté que le peuple palestinien a le droit à l'autodétermination, la création de l'État palestinien et le réexamen de sa pleine adhésion à l'ONU, en tant qu'élément essentiel de la solution à deux États, dans le cadre de la recherche d'une paix durable au Moyen Orient.

Le Premier ministre marocain, Saad Eddin El Othmani, a déclaré que l'incapacité à régler la question palestinienne et à relancer le processus de paix au Moyen-Orient forme une profonde préoccupation pour le Maroc, parce qu'il n'y a pas de paix juste et durable sans que le peuple palestinien puisse établir son État indépendant et viable, Jérusalem sa capitale.

Il a mentionné que le Maroc rejette catégoriquement toutes les mesures d'occupation qui aggravent les tensions et l'instabilité dans la région, notant que le Roi Mohammed VI insiste toujours sur l'importance de préserver la ville sainte de Jérusalem et son statut actuel, car c'est un patrimoine commun de l'humanité et un symbole de coexistence pacifique.

R.N

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