Ramallah, le 17 février 2022, WAFA - Le ministère des Affaires étrangères a affirmé que la question des prisonniers et leur libération, en particulier les malades, les femmes, les enfants et les personnes âgées, figurent parmi nos priorités a travers nos démarches politiques, diplomatiques et le droit international.
Dans un communiqué publié jeudi soir, le ministère des Affaires étrangères a ajouté qu'il est en contacte quotidiennement à cet effet avec la Croix-Rouge internationale, le Haut-commissariat aux droits de l'homme et la Cour pénale internationale et les rapporteurs spéciaux sur les questions de persécution, de torture et de détention, ainsi qu'avec le gouvernement suisse en tant que dépositaire des Conventions de Genève.
La diplomatie a également confirmé que la question des prisonniers sera fortement présentée dans le discours de l'État de Palestine, qui sera prononcé par le ministre des Affaires étrangères, Riyad Al-Malki, lors de la session du Conseil des droits de l'homme qui se tiendra à la fin de ce mois-ci.
Elle a condamné la répression et les abus pratiqués par l'administration et ses forces de répression contre les prisonniers dans les geôles de l’occupation israélienne, en violation flagrante des Conventions de Genève et du droit international, portant l’entière responsabilité au gouvernement de l'extrémiste Naftali Bennett, des résultats et des répercussions de cette violente, oppressive et raciste.
La diplomatie a exiger de la Croix-Rouge internationale et de toutes les institutions, organisations et conseils pertinents des Nations Unies, y compris le Conseil de sécurité des Nations Unies et l'Assemblée générale des Nations Unies, qu'ils assument leurs responsabilités juridiques et morales à l'égard de ce à quoi nos prisonniers sont exposés.
F.N