New York, le 23 janvier, 2034,WAFA- Le Conseil de sécurité de l'ONU a entamé mardi soir, une séance de discussion ouverte, au niveau ministériel, sur « la situation au Moyen-Orient, y compris la question palestinienne », en particulier l'agression israélienne en cours dont la bande de Gaza est témoin depuis 109 jours.

Plusieurs ministres participeront à la séance, présidée par le ministre français des affaires étrangères Stéphane Ségourny, dont le ministre des affaires étrangères Riyad al-Maliki.

Au début de la session, le Conseil a entendu un exposé du Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres.

Guterres a qualifié le rejet par Israël de la solution à deux États d'« inacceptable » et de « prolongerait la guerre à Gaza ».

Guterres a déclaré que ce que nous avons entendu « la semaine dernière, à savoir un rejet explicite et répété de la solution à deux États aux plus hauts niveaux du gouvernement israélien, est inacceptable ».

Il a ajouté : "Tout refus d'accepter la solution à deux Etats par quelque partie que ce soit doit être fermement rejeté... La solution à deux Etats est le seul moyen de répondre aux aspirations légitimes des Israéliens et des Palestiniens."

Le Secrétaire général a noté que « tous les habitants de la bande de Gaza sont confrontés à une destruction d'une ampleur et d'une vitesse sans précédent dans l'histoire moderne ».

Il a souligné que "rien ne peut justifier la punition collective du peuple palestinien".

Il a renouvelé son appel à un cessez-le-feu immédiat pour des raisons humanitaires, soulignant que cela garantira qu'une aide suffisante parvienne là où elle est le plus nécessaire.

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K.R