Gaza, le 25 juin, 2024,WAFA- La citoyenne Umm al-Abd Baalousha tient la main de son jeune enfant, Elle a ajouté au correspondant d'Anatolie : « Nous n'avons pas trouvé d'autre endroit où fuir depuis la ville de Rafah, à l'extrême sud, alors que l'occupation a commencé ses opérations militaires terrestres, autre que cette zone (à Deir al-Balah), qui est caractérisé par sa proximité avec l'usine de dessalement de l'eau, mais la catastrophe a commencé à se produire avec le débordement des eaux usées.

Elle qualifie les conditions de vie dans la zone d'"extrêmement mauvaises", car un torrent d'eaux usées coule dans la rue donnant sur la tente et des tas de déchets s'accumulent à côté des tentes, ce qui constitue un grave danger pour la santé et l'environnement.

Baalousha veille à ne pas permettre à ses enfants de quitter la tente sauf lorsque cela est nécessaire, afin d'éviter les risques sanitaires et environnementaux environnants, de peur qu'ils ne contractent des maladies infectieuses et intestinales transmises par les eaux usées et les ordures. alors qu'il quitte la tente familiale au sud de la ville de Deir al-Balah, dans le centre de la bande de Gaza, pour l'empêcher de traverser une mare d'eaux usées adjacente à la tente.

Baalousha (43 ans) et sa famille vivent dans une petite tente érigée derrière l'usine de dessalement d'eau de mer située au sud-ouest de la ville de Deir al-Balah, dans une zone où les eaux usées débordent fréquemment, et entourée de gros tas d'ordures.

Baalousha dit qu'elle est une réfugiée du camp de Jabalia, dans le nord de la bande de Gaza, et qu'elle a été déplacée pendant l'agression israélienne en cours contre la ville de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, avant d'être à nouveau déplacée vers Deir al-Balah.

Elle a ajouté au correspondant d'Anadol : « Nous n'avons pas trouvé d'autre endroit où fuir depuis la ville de Rafah, à l'extrême sud, alors que l'occupation a commencé ses opérations militaires terrestres, autre que cette zone (à Deir al-Balah), qui est caractérisé par sa proximité avec l'usine de dessalement de l'eau, mais la catastrophe a commencé à se produire avec le débordement des eaux usées.

Elle qualifie les conditions de vie dans la zone d'"extrêmement mauvaises", car un torrent d'eaux usées coule dans la rue donnant sur la tente et des tas de déchets s'accumulent à côté des tentes, ce qui constitue un grave danger pour la santé et l'environnement.

Baalousha veille à ne pas permettre à ses enfants de quitter la tente sauf lorsque cela est nécessaire, afin d'éviter les risques sanitaires et environnementaux environnants, de peur qu'ils ne contractent des maladies infectieuses et intestinales transmises par les eaux usées et les ordures.

Le déplacé Ibrahim Al-Aila (44 ans), explique les difficultés et les risques auxquels est confrontée la famille en raison des fuites d'eaux usées, de l'invasion fréquente des tentes des déplacés et de la propagation des insectes, des moustiques et des rats dans les lieux.

Il déclare : « Nous avons été déplacés de Rafah vers des tentes à Deir al-Balah, et la situation est insalubre et inappropriée du tout, car il y a un débordement constant d'eaux usées et une accumulation de déchets à proximité, ce qui constitue une menace pour la vie de nos fils et de nos filles et propage des maladies infectieuses parmi nous ».

Il a ajouté : "Nous souffrons de la propagation d'odeurs désagréables, d'insectes, de rongeurs et de l'accumulation d'eaux usées, et personne n'a été en mesure de résoudre le problème depuis le début de la crise".

Le déplacé Abu Mahmoud Sobh, de la ville de Gaza, dit que l'état de santé de ses enfants ne se détériore de manière incontrôlable, après qu'ils ont contracté des maladies infectieuses qui se sont largement propagées à cause des torrents d'eaux usées.

Sobh dit : « Nos jeunes enfants sont infectés par des maladies allant de la diarrhée aux maladies infectieuses de la peau, aux infections intestinales et à l'hépatite, et la situation n'est pas facile, en raison des maladies et des épidémies qui se propagent dans la région en raison de problèmes environnementaux et sanitaires.

K.R