Le Caire, le 26 août 2025, WAFA- Le président du Parlement arabe, Mohammed Al-Yamahi, a condamné l’escalade de l’occupation israélienne dans la guerre génocidaire et les massacres horribles qu’elle commet contre les civils palestiniens, ainsi que l’escalade systématique des attaques contre les journalistes, les équipes médicales et de secours dans la bande de Gaza, en plus du crime de famine systématique qui a coûté la vie à un grand nombre de civils sans défense, avertissant que sa poursuite entraînera davantage de tensions et menacera la paix et la sécurité internationales.
Al-Yamahi a déclaré dans un communiqué de presse publié mardi que ces massacres commis par l’occupation au complexe médical de Nasser, qui ont été diffusés en direct dans le monde entier, constituent des « crimes de guerre » et des « crimes à part entière contre l’humanité ».
Il a souligné que l’occupation ne se contente pas de bombardements brutaux, mais applique plutôt des politiques du génocide immédiate par des massacres et un génocide lente, en empêchant la nourriture, les médicaments, l’aide humanitaire et la propagation de la famine, dans l’un des crimes les plus odieux de l’époque moderne, dénonçant le silence de la communauté internationale.
Le Président du Parlement arabe a également appelé les Nations Unies, l’Union européenne, la Fédération internationale des journalistes et le Comité international de la Croix-Rouge à assumer leurs responsabilités légales et morales, et à faire pression sur l’occupation pour qu’elle cesse son escalade, mettre fin à la guerre, cesser le feu et entrer dans un accord de trêve, en soulignant que le silence continu est une « tache sur le front de l’humanité ».
En outre, Al-Yamahi a appelé au gel immédiat de l’entité d’occupation par toutes les organisations et syndicats internationaux, considérant qu’il s’agit d’une violation des principes du système international et d’un mépris pour toutes les lois internationales, ce qui nécessite l’imposition d’une économie globale et urgente, sanctions politiques et militaires contre les dirigeants de l’occupation.
N.S