Ramallah, le 19 juillet 2018, WAFA- Le président de l‘État de Palestine Mahmoud Abbas,, a déclaré que Jérusalem est la capitale éternelle de l‘État de la Palestine et qu‘il n‘y aurait ni paix, ni sécurité, ni stabilité pour qui que ce soit sans cela et nous ne tolérerons aucun compromis.
Cela est venu dans le communiqué de la présidence, qui condamne l‘approbation par le parlement israélien de ce soi-disant "Etat national juif" et Jérusalem comme la capitale unifiée d‘Israël, soulignant qu’il exposera le visage raciste de l‘occupation israélienne et ses violation de toutes les résolutions de la légitimité internationale.
La présidence palestinienne a affirmé que l‘adoption de telles lois fausses et racistes ne changera pas la situation historique de la ville de Jérusalem en tant que capitale de l‘Etat palestinien occupé et ne découragera pas notre peuple de lutter légitimement pour vaincre l‘occupation et établir son Etat indépendant.
Elle a ajouté que cette loi est l’une des formes du complot contre notre cause nationale, la plus récente est la déclaration des États-Unis de transférer leur ambassade à Jérusalem et de la reconnaître comme capitale d‘Israël, soulignant que ces projets sont voués à l‘échec et aboutiront devant la fermeté de notre peuple et à l’attachement de nos dirigeants nationaux aux constantes nationales et de protégez nos sainteté et nos acquis.
La Présidence a indiqué que cette loi consacre le principe d‘occupation, qui ignore les résolutions de la légitimité internationale, la politique de l‘occupation est la judaïsation de Jérusalem et sa séparation de son environnement palestinien, soulignant que "Jérusalem-est fait partie des territoires palestiniens occupés depuis 1967, elle est la capitale éternelle de l‘Etat Palestinien indépendant.
La Présidence a appelé la communauté internationale à intervenir et à assumer ses responsabilités pour faire cesser ces lois racistes en pressant Israël et en l‘obligeant à appliquer les résolutions de la légitimité internationale et à le tenir responsable de ses violations systématiques des lois et résolutions internationales.
La présidence a affirmé que le peuple palestinien a le droit de retourner sur ses terres, c’est un droit sacré et ferme garanti par la légalité internationale, dont la résolution 194 qui prévoit le droit de retour des réfugiés palestiniens sur leurs terres et propriétés, d’où ils ont été exilés et d’être indemnisées.
F.N
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