Accueil international 01/June/2022 09:58 AM

Le ministère des Affaires étrangères condamne l'exécution de la jeune femme, Warasna, et la considère comme une victime du silence de la Cour pénale internationale

Ramallah, Le 1er juin 2022 WAFA - Le ministère des Affaires étrangères et des Expatriés a condamné le crime odieux d'exécution sur le terrain commis de sang-froid par les soldats de l'occupation israélienne, qui a entraîné la mort de la jeune femme, Ghufran Warasna (31 ans), près de l'entrée du camp de réfugiés d'Al-Aroub, au nord d'Hébron, alors qu'elle se rendait à son travail sans représenter aucun danger. 

Dans un communiqué de presse, mercredi, le ministère des Affaires étrangères a estimé que ce crime est le prolongement d'une longue et continue série d'exécutions sur le terrain commises par les forces d'occupation conformément aux instructions et directives du niveau politique des responsables israéliens, dirigés par Bennett, qui permet aux soldats de tirer à balles réelles sur des civils palestiniens dans le but de tuer sans aucune raison, tout cela selon leurs humeurs et leur état psychologique, dans une nouvelle confirmation de la nature des missions criminelles menées par les soldats d'occupation déployés aux points de contrôle ou dans des tours militaires aux entrées des camps, villes et villages palestiniens.

La diplomatie palestinienne a tenu le gouvernement israélien dirigé par Naftali Bennett, entièrement et directement responsable de ce crime et d'autres exécutions sur le terrain, qui reflètent la mentalité des gangs et le racisme.

Elle a souligné que la martyr Ghufran est une victime directe du fascisme de la puissance occupante, du double standard des normes internationales et du silence de la Cour pénale internationale.

R.N

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