Ramallah, le 117 octobre 2022 WAFA - Le Club du prisonnier a déclaré qu'environ 5 300 palestiniens ont été raflés par les forces d'occupation israéliennes, depuis le début de cette année 2022.
Le Club a ajouté, dans un communiqué de presse aujourd'hui, lundi, que parmi les arrestations il y a 111 femmes, 620 enfants et 1 610 arrestations administratives.
A noter que 1 228 arrestations ont été enregistré en avril dernier.
Il a souligné que les forces d'occupation ont délibérément provoqué le plus grand nombre d'opérations de sabotage à l'intérieur des maisons des détenus et de leurs familles, causant de grandes pertes matérielles.
Il vaut la piene de mentionner que les opérations de détention administrative constituaient, selon les données actuelles, les plus dangereuses par rapport aux dernières années, et que le pourcentage le plus élevé d'ordres de détention administrative avait eu lieu au cours du mois d'août 2022, atteignant 272 ordres, et le nombre d'ordres administratifs détenus dans les prisons d'occupation, jusqu'à fin septembre, a atteint environ 800 détenus.
Dans le même contexte, la Commission des affaires des prisonniers et ex-prisonniers a appelé la communauté internationale, avec toutes ses formations et institutions, à prendre des mesures immédiates pour mettre fin à la politique de meurtres et d'exécutions suivie par le gouvernement d'occupation, et à administrer ses prisons contre les prisonniers et détenus palestiniens.
Elle a expliqué que le nombre de martyrs du mouvement captif est passé à 232, dont le dernier était le martyr blessé Muhammad Gwadra du camp de Jénine.
La Commission a indiqué que (73) des prisonniers ont été martyrisés à la suite de tortures, (73) en raison d'une négligence médicale, (79) à la suite d'un meurtre avec préméditation après leur arrestation et (7) d'autres après avoir été tués par balle en prison, en plus à des centaines d'autres prisonniers libérés qui sont morts, après leur libération, ils ont été touchés par des maladies héritées des prisons à la suite de tortures et de négligence médicale délibérée.
R.N