Washington, le 21 août 2023, WAFA - Les institutions palestiniennes et des droits de l'homme opérant dans l'arène américaine ont annoncé leur plein soutien aux prisonniers palestiniens à la lumière des tragiques conditions de détention et de l'insistance du Service pénitentiaire israélien à les maltraiter délibérément.
Bien que le mouvement des prisonniers a annoncé la suspension de ses démarches de protestation, les institutions aux Etats-Unis ont affirmé qu'elles continuaient à travailler par tous les moyens en coopération avec les institutions et les personnalités politiques américaines, en vue de soutenir le droit palestinien pour influencer les décideurs à Washington afin de soutenir les prisonniers palestiniens et défendre leurs revendications légitimes et la nécessité de leur libération urgente.
Il n'a pas manqué de mentionner que les autorités d'occupation israéliennes, dirigées par les services pénitentiaires israéliens, ont conçu pendant des décennies toutes sortes d'outils pour torturer plus de 4000 prisonniers Palestiniens.
Depuis l'entrée de Bin Gvir en fonction, les menaces n'ont pas cessé, en particulier celles liées aux détenus Palestiniens qui visent à durcir leurs conditions de de détention et à émettre de nouvelles procédures qui affectent leur vie quotidienne.
Bin Gvir a commencé à appliquer certaines mesures répressives, notamment : contrôler la quantité d'eau utilisée par les détenus, réduire le temps de douche, verrouiller les bains dans les nouvelles sections de la prison de Nafha.
De plus, retarder la délivrance du pain pendant des jours afin qu'ils l'obtiennent sec et froid. Les raids et les perquisitions se sont intensifiés récemment à l'aide de grenades assourdissantes et de chiens policiers.
Un projet de loi visant à refuser aux détenus des soins médicaux, certaines opérations chirurgicales, un double isolement cellulaire et à retirer les télévisions des centres de détention a également été approuvé en lecture préliminaire.
En plus de l'augmentation des transferts de détenus, notamment des condamnés à perpétuité, et de la menace de certaines prisons centrales de fermer les établissements publics vendredi et samedi.
H.A