Ramallah, le 29 mai 2024, WAFA - La Campagne académique internationale contre l’occupation et apartheid israélienne ont salué les attitudes et initiatives positives et progressistes de plusieurs universités internationales qui ont boycotté les universités et les centres de recherche israéliens.
Dans un communiqué publié mercredi, elle a souligné que ces attitudes sont venues par le biais de sit-ins, de manifestations et de camps de solidarité dans le contexte du soulèvement des universités dans les arènes des universités européennes, américaines et autres.
L’Académie Internationale a noté que la position avancée de l’Université espagnole de Jayin de suspendre tous les accords de coopération et de partenariat avec toutes les universités et centres de recherche israéliens, après les événements intensifs et sit-ins que les Nations Unies ont organisé sur le campus le mois dernier par les étudiants ", ce qui renforcent les liens de recherche et universitaires avec la Palestine et contrecarrerait les attitudes racistes et agressives et les violations impliquant les universités et les centres de recherche israéliens contre le peuple palestinien.
L’université danoise de Copenhague avait annoncé qu’elle mette fin aux investissements dans les entreprises ayant une activité commerciale dans les colonies, notant que les étudiants de l’université exigent la rupture de ses relations académiques avec Israël et le retrait de ses investissements auprès des entreprises opérant sur le territoire palestinien occupé.
L’Académie Internationale a expliqué que le Conseil d’Administration de l’Université de Grenade avait pris la décision d’annuler les accords académiques et de recherche avec les universités israéliennes avec la détermination de l’Université d’exercer des pressions, afin de mettre fin au massacre et de condamner fermement les violations des droits de l’Homme, et la résolution stipulait que l’Université ne signerait pas de nouvelles conventions, alors que les relations avec les universités palestiniennes et la coopération avec les organisations non gouvernementales travaillant sur le terrain seront intensifiées pour aider et accueillir les étudiants palestiniens, chercheurs et professeurs, notant qu’il ne participera pas non plus à de nouveaux accords de projets de recherche en coopération avec des universités, des organisations ou des institutions israéliennes.
N.S