Accueil Occupation 18/December/2024 10:20 PM

Nouvelle enquête de "Haaretz" : Des soldats de l'occupation ont exécuté des civils désarmés et ont laissé leurs corps aux chiens pour les dévorer

 

Ramallah, le 18 décembre, 2024,WAFA-Les forces d'occupation israéliennes poursuivent une série d'atteintes graves aux droits de l'homme, qualifiées de crimes de guerre, dans le cadre de la guerre du génocide  qu'elles mènent à Gaza depuis le 7 octobre 2023.

Une nouvelle enquête du journal israélien Haaretz, publiée mercredi, a révélé que les soldats israéliens ont ciblé des civils de manière aléatoire, y compris des enfants et des personnes portant des drapeaux blancs, à un carrefour des martyrs au centre de Gaza, appelé « axe Netzarim », sous de faux prétextes.

Depuis le début de la guerre du génocide dans la bande de Gaza, Israël a empêché l'entrée de journalistes étrangers en dehors de Gaza et a ciblé les journalistes palestiniens qui y travaillaient, dans le but de cacher les images des crimes qu'il commet contre les Palestiniens sans défense. Par conséquent, les rapports et enquêtes publiés dans les médias israéliens, en particulier dans Haaretz, bien qu'ils révèlent des atrocités basées sur des témoignages d'officiers et de soldats de l'armée israélienne, ne représentent qu'une infime partie des crimes commis par l'occupation au cours de plus de 14 mois dans la bande de Gaza.

L'enquête récente de Haaretz inclut des témoignages choquants sur l'utilisation excessive et injustifiée de la force dans le cadre de cette guerre du génocide, notamment des tirs de roquettes depuis des hélicoptères sur des civils, l'abandon de cadavres à l'attaque des chiens, et des traitements dégradants infligés aux survivants, illustrant des violations flagrantes du droit international. L'occupation israélienne considère chaque martyr palestinien comme un « terroriste », qu'il soit armé ou non, voire même un enfant.

L'enquête se concentre sur les pratiques de l'armée israélienne dans l'axe de « Netzarim », où les soldats israéliens ciblent toute personne qui s'approche de la zone ou franchit une « ligne imaginaire », désormais connue sous le nom de « ligne des cadavres » parmi les soldats et les commandants.

K.R

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