Riyad, le 30 avril 2024, WAFA- La déclaration finale de la réunion du Comité ministériel chargé par le Sommet arabe-islamiste conjoint extraordinaire sur les développements dans la bande de Gaza a exprimé son soutien aux efforts visant à parvenir à un cessez-le-feu immédiat, à la libération des prisonniers et des otages, à la fin de la guerre à Gaza et de toutes les actions et violations unilatérales illégales dans les territoires palestiniens occupés, y compris Jérusalem-Est, ainsi qu'à la résolution de la crise humanitaire catastrophique.
La déclaration a souligné la nécessité de transférer à une voie politique pour parvenir à une solution politique pour le conflit israélo-palestinien.
Le communiqué indique : ‘présidée par le Prince Faisal Ben Abdallah Ben Farhan, Ministre des Affaires étrangères du Royaume d'Arabie Saoudite, et par Espen Barth Eidey, Ministre des Affaires étrangères de la Norvège, la Commission ministérielle chargée du Sommet extraordinaire conjoint arabo-islamique sur les développements dans la bande de Gaza, des ministres des Affaires étrangères et des représentants des pays européens se sont réunis le 29 avril 2024 à Riyad, pour discuter de la nécessité urgente de mettre fin à la guerre à Gaza et de prendre les mesures nécessaires pour mettre en œuvre la solution à deux États.
La réunion a été suivie par les ministres des Affaires étrangères et des représentants de Bahreïn, du Portugal, de l'Union européenne, d'Algérie, de Jordanie, d'Allemagne, des Émirats arabes unis, de l'Espagne, de l'Irlande, de l'Italie, de la Belgique, de la Turquie, de la Ligue des États arabes, de la Slovénie, de la France, de la Palestine, du Qatar, de l'Égypte et du Royaume-Uni.
À la lumière de cela, les étapes concrètes vers la création d'un État palestinien dans le cadre d'une solution à deux États ont été discutées, soulignant la nécessité urgente de prendre de telles mesures et l'importance de la coordination des positions ont été soulignées.
La réunion a également discuté de la question de la reconnaissance de l'État palestinien par les pays qui ne l'ont pas encore fait, ainsi que du moment et du contexte de cette reconnaissance.
N.S