Ramallah, le 18 septembre 2024, WAFA- Le ministre d'État chargé des affaires étrangères, Farsen Agabekyan Shahine, et le membre du comité exécutif de l'Organisation de libération et président du Département des affaires des réfugiés, Ahmed Abo Houli, ont examiné mercredi les moyens et les mécanismes de coopération conjointe pour promouvoir et soutenir la cause des réfugiés palestiniens et faire face aux risques posés par l'Agence des Nations Unies pour le secours et l'emploi des réfugiés palestiniens au Proche-Orient (UNRWA).
Abo Houli a salué les efforts politiques et diplomatiques déployés par le ministère des Affaires étrangères avec les composantes de la communauté internationale pour obtenir la justice internationale pour notre peuple et sa cause légitime, et a examiné les derniers développements concernant la question des réfugiés et les résultats des réunions organisées par le département à tous les niveaux, ainsi que les risques que l'occupation israélienne cible systématiquement les camps palestiniens et l'agence de l'UNRWA pour tenter de la diaboliser et d'affaiblir son travail en prélude à l'annulation de son existence, ce qui signifie la fin de la question des réfugiés.
De plus, il a souligné l'importance de préserver le mandat de l'UNRWA conformément au mandat qui lui a été conféré par la résolution 302 de l'Assemblée générale des Nations Unies.
Pour sa part, Shahine a souligné que la question des réfugiés palestiniens et les violations et crimes de l'occupation contre les camps palestiniens et l'agence de l'UNRWA étaient au sommet des priorités de la diplomatie palestinienne, soulignant que le ministère, à travers ses réunions, a toujours soulevé et souligné la question des réfugiés, en conjonction avec la mobilisation continue des ambassades et des missions de l'État de Palestine avec les décideurs et l'opinion publique des pays hôtes et dans les organisations et les conseils internationaux pour maintenir le mandat de l'agence de l'UNRWA et augmenter le financement qui lui est fourni pour garantir les droits des réfugiés palestiniens en tant que loi de la vie, qui ne peut être remplacée, alors que des tentatives sont faites pour affaiblir son travail.
N.S
