Ramallah, le 10 septembre 2024, WAFA- Le conseiller du président pour les affaires internationales et son envoyé spécial, Riyad Al-Maliki, a souligné que l'adoption par l'Assemblée générale des Nations Unies de l'avis consultatif de la Cour Internationale de justice constitue une étape historique dans tous les sens du terme, car c'est l'État de Palestine qui a présenté le projet de résolution.
Dans une interview accordée à la radio " Sawt Falastin" jeudi, Al-Maliki a affirmé que le retrait des territoires occupés était désormais une exigence internationale, et pas seulement palestinienne, et que l'État d'occupation devait s'en tenir à cette décision.
En ce qui concerne les prochaines étapes en Palestine, Al-Maliki a expliqué que l'on travaillerait à prendre chaque point de la résolution et à traduire chaque détail dans un plan d'action de mise en œuvre des dispositions de contrôle, à obliger Israël à ce qui est dit dans la résolution, ainsi qu'à obliger les États membres à l'appliquer.
Al-Maliki a exprimé sa conviction que de nombreux pays prendront eux-mêmes des mesures concrètes pour mettre en œuvre la résolution de l'ONU sur le terrain, soulignant que le secrétaire général de l'ONU présenterait dans trois mois un rapport sur l'engagement des pays à mettre en œuvre la résolution, et qu'il y avait des engagements de la part de l'ONU et des États membres requis par cette résolution.
N.S