Genève, le 26 mars, 2025, WAFA- Lors de sa cinquante-huitième session, au titre du point 7 de l’ordre du jour relatif à la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés et le Golan syrien occupé, le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies a condamné les graves violations commises par la puissance occupante et leurs répercussions au regard du droit international. Les membres ont affirmé leur rejet des crimes de guerre en cours, des violations de l’accord de cessez-le-feu et des meurtres de civils, dans un contexte d’appels internationaux en faveur d’une action ferme pour garantir la responsabilité.

À l’ouverture de la session, le Représentant du Haut-Commissaire a examiné les rapports publiés par le Haut-Commissariat aux droits de l’homme sur la situation dans le territoire palestinien occupé, notamment l’illégalité des colonies, la cessation de l’expansion des colonies et de la confiscation des terres, ainsi que la nécessité de demander des comptes à tous les criminels de guerre.

Des représentants des pays arabes, africains et latino-américains, ainsi que du Mouvement des non-alignés et de l’Organisation de la coopération islamique, ont participé à la discussion. Les représentants des États membres du Conseil ont condamné l’occupation illégale continue du territoire palestinien et dénoncé l’agression et les crimes contre l’humanité.

La plupart des États membres du Conseil ont prononcé des discours, notamment : l'Algérie, le Koweït, le Maroc, le Mexique, l'Espagne, l'Afrique du Sud, les Maldives, l'Indonésie, le Brésil, la Colombie, le Chili, la Chine, le Bangladesh, Cuba, le Vietnam, le Qatar, la Bolivie et le Soudan.

K.R