Ramallah, le 2 décembre 2025, WAFA- Le Club des prisonniers a déclaré que les autorités d’occupation israéliennes continuent d’intensifier les arrestations systématiques de manière sans précédent après la guerre d’extermination, qui a affecté environ 21 000 arrestations en Cisjordanie, y compris Jérusalem, ainsi que des milliers de nos concitoyens à Gaza.
Il a expliqué dans un communiqué que les autorités d’occupation continuent de commettre des crimes plus systématiques contre les détenus et leurs familles, ce qui constitue une extension de la guerre du génocide.
Il a souligné que les chiffres relatifs aux arrestations quotidiennes reflètent non seulement le nombre croissant, mais aussi l’augmentation du niveau des crimes qui les accompagnent, notamment les exécutions sur le terrain menées par l’armée d’occupation, qui s’accompagnent d’efforts législatifs au sein de l’État occupant pour promulguer une loi permettant l’application de la peine de mort contre les prisonniers palestiniens.
À la lumière du suivi quotidien des cas de détention après la guerre de génocide, le Club des prisonniers a confirmé que tous les crimes actuels de l’occupation constituent une extension de son approche qui est basée depuis des décennies sur le ciblage de la présence palestinienne et l’imposition de plus d’outils de répression, contrôle et surveillance. Cependant, la seule variable depuis le début de la guerre de génocide est le niveau d’intensité de la criminalité, que ce soit les crimes accompagnant les arrestations ou les crimes contre les prisonniers à l’intérieur des prisons et des camps.
Dr plus, il a révélé que le bombardement des maisons des prisonniers Abd Al-Karim Sanobar et Ayman Ghanem à l’aube aujourd’hui n’est rien d’autre qu’une partie de la tentative continue de l’occupation de cibler la présence palestinienne, et les opérations d’effacement systématique qui ont constitué et continuent de constituer un outil central pour la réalisation du crime de (vengeance de masse), qui s’est intensifié d’une manière sans précédent depuis le début de la guerre
du génocide.
N.S
