Ramallah, le 24 juillet 2025, WAFA- Le Premier ministre Mohammed Mustafa a déclaré : « La situation humanitaire catastrophique et en détérioration dans la bande de Gaza n’est plus tolérable, et l’aide humanitaire est importante aujourd’hui, mais notre peuple à Gaza a besoin de plus qu’une simple aide humanitaire. Ils veulent la liberté, la dignité et un avenir ».
Cette discours a eu lieu lors de son discours à la réunion de coordination de haut niveau, dans la salle des opérations gouvernementales pour les interventions d’urgence (gouvernorats du sud), aujourd’hui, jeudi, afin de mobiliser plus de pression pour arrêter la guerre de génocide et de famine, renforcer les efforts de secours, et recruter davantage de financements internationaux pour les institutions de secours des Nations Unies, en présence d’un certain nombre de membres du corps diplomatique, de représentants des institutions de l’ONU et de secours, de ministres et de membres de la salle des opérations.
Le Premier ministre a ajouté : « Nous ne pouvons pas laisser tomber notre peuple dans la bande de Gaza à la lumière des conditions humanitaires difficiles qu’ils traversent. » Nous voulons que la communauté internationale fournisse plus d’aide humanitaire et de secours, ainsi que des efforts supplémentaires et redoublés pour arrêter la guerre de génocide et de famine, ouvrir les points de passage et apporter de l’aide pour répondre aux besoins humanitaires urgents.
Pour sa part, le représentant de l’Union européenne en Palestine, Alexander Stutzman, a déclaré : « Je voudrais rappeler les déclarations publiques des dirigeants européens qui ont dit que la situation dans la bande de Gaza doit changer. » La haute représentante a également souligné dans son dialogue avec toutes les parties concernées que toutes les options sont sur la table tant que les engagements pris ne sont pas tenus, y compris par Israël.
Stutzman a ajouté, « Le Bureau d’aide humanitaire et les organisations des Nations unies travaillent sur le terrain et surveillent constamment, et les organes concernés de l’Union européenne sont en contact constant avec les organisations humanitaires travaillant sur le terrain dans la bande de Gaza, pour vérifier le volume de l’aide, la reprise des travaux de boulangerie, la nécessité de l’arrivée du carburant nécessaire et l’importance d’ouvrir les passages. Bien que certaines améliorations aient eu lieu, elles n’étaient pas suffisantes ».
N.S