Ramallah, le 17 avril 2022 WAFA - La Journée des prisonniers palestiniens tombe aujourd'hui, après qu'elle a été approuvée par le Conseil national palestinien en 1974, le 17 avril, comme une journée nationale pour unifier les efforts et les activités pour les soutenir et soutenir leur droit légitime à la liberté.
Cette date a été choisie pour célébrer la Journée du prisonnier, car elle a vu la libération du premier détenu palestinien, "Mahmoud Bakr Hijazi", lors du premier échange de prisonniers entre les Palestiniens et l'occupation israélienne.
Le vingtième sommet arabe fin mars de l'année 2008, dans la capitale syrienne, Damas, a approuvé l'adoption de cette journée chaque année à célébrer dans tous les pays arabes, en solidarité avec les prisonniers palestiniens et arabes détenus en Israël.
Cette occasion intervient alors que les autorités d'occupation israéliennes continuent de détenir environ 4 450 détenus, dont 32 détenus, dont une fille mineure, et 160 enfants, et que le nombre de détenus malades a atteint plus de (600), dont 200 cas chroniques, et (22 ) détenus atteints de cancer tumeurs à des degrés divers, sachant que le plus dangereux de ces cas concerne le détenu Nasser Abu Hamid, qui souffre d'un grave problème de santé, à la suite d'un cancer du poumon.
Les institutions des prisonniers palestiniens ont révélé que l’occupation israélienne poursuit la détention de 4450 prisonniers, dont 32 femmes, 160 enfants, âgés de moins de 18 ans et 530 détenus administratifs.
A l’occasion de la journée du prisonnier palestinien qui marque le 17 avril 2022, l’occupation a arrêté plus de 2140 citoyens palestiniens, hommes et femmes, notamment des villes de Jérusalem et de Jénine, notant que plus de 200 enfants et 35 femmes sont parmi les détenus.
Les campagnes d’arrestations ont augmenté lors du mois de mars dernier et avec le début du mois sacré du Ramadan et a dépassé les 400 cas d’arrestations, dont des enfants.
Plus de 600 prisonniers malades croupissent dans les geôles de l’occupation, dont 22 qui souffrent de cancer, y compris le cas le plus dangereux est le prisonnier Nasser Abu Hmaid qui atteint de cancer aux poumons, selon les institutions des prisonniers palestiniens.
Alors que le nombre de journalistes emprisonnés dans les prisons d'occupation atteint (11) journalistes.
R.N